Comme un lundi : «Rester. Etranger»
Lire : rester point étranger. Alors quoi ? Ne restez point étranger, venez ! Ou bien rester quoiqu’il arrive, rester, mais étranger...
Lire : rester point étranger. Alors quoi ? Ne restez point étranger, venez ! Ou bien rester quoiqu’il arrive, rester, mais étranger...
Lors d’une séance de travail avec le collectif ExposerPublier la semaine dernière, nous nous demandions comment raconter Khiasma. Raconter Khiasma maintenant, à un moment de glissement de terrain, de changement de paysage et d’arrivée en fanfare des fictions bavardes d’un Paris nécessairement Nouveau et Grand. Que peut réparer le récit, que peut-il défaire ? Over the course of a work session with the collective ExposerPublier last week, we wondered how to narrate Khiasma. Narrate Khiasma now, at a time of territorial shifts and changing landscapes, and the noisy arrival of talkative tales of a necessarily New and Grand Paris. What can the narrative repair, what can it undo?
Toutes nos excuses pour les désagréments, les embouteillages, les bonhommes ventrus, les voitures fantômes et les batailles impromptues, mais nous devons l’avouer sans détour : on espérait la neige. Et dieux et déesses du climat déréglé ont un peu forcé la dose.
All our apologies for the inconveniences, the traffic, the carrot-nosed pot-bellied men, phantom cars and impromptu battles, but we’ll come right out and admit it: we were hoping for the snow. And the gods and goddesses of our unsettled climate certainly delivered.